Paré (Chantal)

Un article de la Mémoire du Québec (2022).

  • Femme de loi (avocate).

Criminaliste à la firme d'avocats Turgeon et Associés (1997-2015).
Juge à la Cour municipale de la ville de Laval (2015-).

Le 17 février 1971, Alice Paré, 14 ans, est disparue vers 17 h 30 alors qu'elle rentrait à la maison après une leçon de musique à Drummondville ; elle avait quitté le pavillon de musique situé au 466 rue Saint-Jean et avait traversé la rue pour se rendre à une cabine téléphonique pour appeler sa mère pour que celle-ci vienne la chercher, mais elle décida de marcher jusqu'à sa résidence située à un demi mile plus loin au numéro 667 du boulevard Mercure. Au matin du 26 avril 1971, 3 travailleurs (André Camirand, Yvon Lampron et Lucien Paquin de la ferme d'alPhège Leclerc sur le 3r rang de Sainte-Clothilde-de-Horton ont apperçu une paire de bottes blanches à une soixantaine de pieds du chemin de gravelles ; en s'approchant, ils ont découvert le cadavre vêtu de l'uniforme de son école d'Alice Paré reposant sous un arbre. Des détectives du poste de la Sûreté du Québec-SQ à Victoriaville se sont rendus sur les lieux. La jeune Paré était la petite-fille du juge Joseph Marier, la nièce du juge Marcel Marier de la Cour municipale de Montréal et du juge Elphège Marier de la Cour supérieure du Québec et son parain, Paul Chassé pratiquait le droit à Drummondville.

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