Un article de la Mémoire du Québec (2022).
- Homme d'affaires (entrepreneur de construction et promoteur immobilier). Reconnu coupable de fraude à Montréal et à Québec, il est emprisonné à 2 reprises durant 30 jours pour bris de condition au milieu des années 1980. Membre du conseil d'administration de l'association des étudiants de l'UQÀM, il est reconnu coupable d'avoir volé le contenu d'une caisse étudiante ; il est aussi reconnu coupable d'une fraude à l'endroit de la Librairie Caron ; en 1986, il est reconnu coupable de vol à l'étalage (1 000 $) chez Audio d'occasion. Employé de la Corporation de développement économique et communautaire Rosemont-Petite-Patrie qui met sur pied la Société de développement Angus-SDA. Président de la Société de développement Angus-SDA qui développe le technopôle sur le site des anciennes usine Angus du Canadien Pacifique. En 2006, Benoît Labonté le propose pour élaborer une vision de développement de l rue Saint-Laurent entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque. Il obtient la réalisation du 2-22 Sainte-Catherine par une convention d'emphytéose de 75 ans pour un projet évalué à 15 M $. Le 7 février 2009, il offre un million $ à Johnny Zoumboulakis pour acquérir le site du Café Cléopâtre du boulevard Saint-Laurent afin d'y construire un édifice d'une douzaine d'étages accueillant les bureaux administratifs d'Hydro-Québe sur 30 000 m2 de surface ; ayant refusé cet offre, Zoumboulakis reçoit un avis d'expropriation de la ville de Montréal pour la somme de 875 000 $ le 9 octobre 2009.
