Cloutier (Alexandre)
Un article de la Mémoire du Québec (2022).
- Homme de loi (avocat) né en 1977 (1er septembre 1977) à Chicoutimi.
Études au Séminaire de Québec (baccalauréat international), à l'Université d'Ottawa (baccalauréat en droit, 1999), à l'Université de Montréal-UdeM (maîtrise en droit contitutionnel, 2003), au Cambrige College en Angleterre (maîtrise en droit international public, 2004), et à l'Université Laval à Québec-ULQ (études au doctorat en droit constitutionnel).
Clerc à la Cour suprême du Canada (2002),
Avocat chez la firme Fasken Martineau de Montréal (2003).
Chargé de cours à l'Université d'Ottawa (2004).
Député du Parti québécois-PQ de Lac-Saint-Jean à l'Assemblée nationale du Québec-ANQ (2007-).
Ministre délégué aux Affaires intergouvernementales canadiennes et à la Gouvernance souveraineté et ministre responsable de la région de la Côte-Nord et du Nord-du-Québec dans le cabinet de Pauline Marois (2012-2014).
En 2014, il est candidat à la direction du Parti québécois, il avance l'opinion que le chef devrait être élu au suffrage universel de tous les Québécois, une sorte de primaires ouvertes comme pour la présidence des États-Unis.
Cette idée n'est pas retenue en 2014.
Candidat à la direction du Parti québécois-PQ (2015)
En mai 2016, à la suite de la démission de Pierre Karl Péladeau, il présente sa candidature à la présidence du Parti québécois-PQ ; Véronique Hivon, Jean-François Lisée, Martine Ouellet et Paul Saint-Pierre-Plamondon font de même, mais la maladie (Labyrinthite) met fin aux espoirs de Véronique Hivon qui abandonne la course qui sera remportée par Monsieur Lisée. Monsieur Lisée avait associé Alexandre Cloutier à l'imam contfoversé Adil Charkaoui, ce qui avait entraîné contre Cloutier des attaques violentes sur les médias sociaux alors que Lisée raflait des appuis dans la base péquiste.
Le 16 janvier 2018, il annonce qu'il ne sera pas candidat aux élections provinciales de 2018.
(Journal de Montréal, 15 octobre 2019, page 23)