Montréal (municipalité de ville). ; Cimetières

Un article de la Mémoire du Québec (2022).

  • Cimetière Back River Baron de Hirsh Memorial Gardens.


Cimetière juif situé à l'angle des rues Lajeunesse et Sauvé, dans l'arrondissement Ahuntsic-Cartierville. À cause d'actes de vandalisme, une clôture de fer a été installée autour du Cimetière en 2002.

  • Éphémérides -


1776 (22 octobre 1776) Inauguration du premier Cimetière juif en Amérique du Nord par l'inhumation de Lazarus David dans un emplacement situé à l'angle de l'actuelle rue de La Gauchetière et l'emprise de l'actuelle rue Peel ; la borne est du Cimetière juif sera le Cimetière Saint-Antoine quand celui-ci sera aménagé en 1799.

Cimetière Hawtorn-Dale (Pointe-aux-Trembles).

  • Éphémérides -


1910 Ouverture du Cimetière pour les protestants de l'est de l'île de Montréal.

Cimetière Notre-Dame-de-la-Visitation dans l'arrondissement Ahuntsic-Cartierville ; voir Ahuntsic-Cartierville

  • Éphémérides -


1873 Ouverture du Cimetière de la paroisse Notre-Dame-de-la-Visitation à qui on donna le nom de Ahuntsic-Cartierville

Cimetière Notre-Dame-des-Neiges sur le flanc ouest du mont Royal au 4601 Chemin de la Côte-des-Neiges ; 343 acres sur lesquels se déroulent 55 km de chemins carossables)
Le cimetière de la Côte-des-Neiges et la ville de Outremont sont aménagés sur des terres ayant appartenu à Pierre Beaubien.

  • Éphémérides -


1642-1654 Les inhumations de catholiques se font au Cimetière de la Pointe-à-Callières, sur l'actuelle Place Royale où se trouve en 2019 le musée d'histoire et d'archéologie.
1654-1672 Les inhumations se font dans le jardin de l'Hôtel-Dieu, à l'angle des rues Saint-Paul et Saint-Sulpice.
1672-1694 Les inhumations se font à l'endroit où est situé l'actuel perron de la basilique Notre-Dame, à côté de l'ancienne église Notre-Dame dans le quadrilatère formé par les rues Saint-Paul, Saint-Pierre, Saint-Sacrement et Saint-Éloi.
1694-1799 Les inhumations se font à l'angle des rues Saint-Paul et Saint-Pierre dans le Vieux-Montréal.
1749-1799 Un Cimetière des pauvres est exploité sur la rue Saint-Jacques près de la rue Saint-Jean.
1776 Les inhumations de Juifs se font dans un petit cimetière, là où se trouvent aujourd'hui une partie de la rue Peel, près de la Place du Canada et de la gare Windsor.
1799 La fabrique de la paroisse Notre-Dame achète une terre de 4 arpents de Pierre Guy, juste en face du petit Cimetière juif inauguré en 1776 ; le terrain est borné par la rue Saint-Antoine, la rue Saint-François-de-Sales (devenue Windsor, puis Peel), la rue Saint-Janvier la limite nord du square Dominion et la rue du Cimetière (actuelle rue de la Cathédrale) ; ce rectangle englobe l'actuel square Dominion et la Place du Canada ; ce cimetière est nommé Cimetière Saint-Antoine.
1812 La fabrique de la paroisse Notre-Dame fait construire une petite chapelle et agrandit son cimetière.
1821 Déménagement au Cimetière Saint-Antoine des restes (54 voyages) provenants des deux premiers Cimetières catholiques de Pointe-à-Callières et de l'église Notre-Dame.
1829 Des personnalités publiques commencent à être inhumées à l'intérieur de la basilique Notre-Dame.
1832 De nombreuses victimes de l'épidémie de choléra sont inhumées dans le Cimetière Saint-Antoine
1840 Cessation des inhumations dans la basilique Notre-Dame ; 102 personnes y avaient été inhumées.
1852 À la suite du grand feu qui détruisit sa cathédrale, Mgr Ignace Bourget décida de la reconstruire en bordure du Cimetière Saint-Antoine, sur la rue Dorchester (René-Lévesque).
L'église anglicane St. Thomas est détruite dans cet incendie ; cette église appartenait à la famille Molson. Elle sera remplacée par l'église St. Luke sur un terrain donné par Ann Aylwin, la fille du docteur Charles Blake, à la condition que le sanctuaire soit érigé au-dessus d'un caveau dans lequel les restes de son père avaient été inhumés.
(17 juin) Un premier service est célébré dans l'église anglicane St. Luke.
1854
Fermeture du Cimetière Saint-Antoine et prolongement de la rue Dorchester (René-Lévesque) vers l'ouest à travers le terrain où avait été le cimetière ; environ 55 000 corps y avaient été inhumés depuis son ouverture.
(6 février) Achat au prix de 3 000 livres sterling par la fabrique de Notre-Dame d'un terrain de 138 hectares situé sur le flanc ouest du mont Royal et appartenant à Pierre Beaubien pour en faire un Cimetière pour les catholiques de Montréal. Aménagement du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges selon un plan de l'architecte Henri-Maurice Perrault; perspective d'ensemble avec peu d'accidents géographiques, des pierres tombales alignées, des allées plantées d'arbres, à la française avec coup d'oeil panoramique d'ensemble.
1855
(29 mai) Ouverture du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges par l'inhumation de Jane Gilroy, épouse du conseiller municipal Thomas McCready.
1869
(Avril 1869) Translation des restes des défunts enterrés au Cimetière Saint-Antoine (square Dominion) vers le Cimetière Notre-Dame-des-Neiges ; on déplace 130 charettes de cadavres, soit 10 000 cadavres ; selon certains, il resterait encore les ossements de 40 000 à 45 000 personnes sous le square Dominion ; les corps de 11 des 12 patriotes pendus à la prison du Pied-du-Courant en 1839 seraient encore entre le monument à John A. Macdonald et l'édifice de la compagnie d'assurance La Laurentienne, dans un terrain qui était réservé aux excommuniés ; seul le corps de Chevalier de Lorimier serait enterré ailleurs, dans la fosse familiale d'un ami sous le gazon de la place du Canada.
(19 novembre 1869) Joseph Guibord décède alors qu'il est encore sous le coup d'une excommunication décrétée par Mgr Ignace Bourget contre les membres de l'Institut canadien; en conséquence, l'Église catholique ne peut lui administrer l'extrême-onction, ce qui interdit son inhumation dans la terre consacrée d'un Cimetière catholique.
1871 La translation des restes de l'ancien cimetière Saint-Antoine vers le cimetière de la Côte-des-Neiges est interrompue lorsque les citoyens expriment leur crainte que les restes des victimes du choléra de 1832 ne propagent cette maladie aux alentours.
(1872-1879) La ville de Montréal achète le terrain de l'ancien cimetière et aménage le square Dominion
1874 Le comité judiciaire du Conseil privé de Londres ordonne à Mgr Bruchésy de permettre l'inhumation de Joseph Guibord dans le Cimetière Notre-Dame-des-Neiges.
1875
(2 septembre 1875) L'opposition des catholiques indignés fait échouer la tentative d'inhumation dans le Cimetière Notre-Dame-des-Neiges
(16 novembre 1875) Sous escorte militaire, la dépouille de Guibord y est finalement enterrée dans un carré que Mgr Bourget a préalablement désacralisé.
1894 Inauguration du site de l'Union nationale française dans le cimetière.
1917 Inauguration du site de la Mission catholique chinoise dans le cimetière.
1918-1919 Pandémie de grippe à travers le monde.
La pandémie grippale de 1918, dite « grippe espagnole », est due à une souche particulièrement virulente et contagieuse qui s'est répandue de 1918 à 1919. Wikipédia
Agent infectieux : Virus de la grippe A (H1N1)
À la fin de septembre 1918, quand la grippe espagnole arrive au Québec, les médecins savent ce qui se passe en Europe et sont conscients qu'elle n'est pas une grippe comme les autres ». Cela fait déjà plusieurs mois, en effet, que la maladie sème la terreur en Europe. On ne connaît pas encore exactement le lieu où est apparu le virus en Amérique, mais on sait que les premiers cas ont été rapportés au début de l'hiver 1918, dans des fermes isolées du Kansas qui logent 56 000 militaires.
Les camps militaires seraient des incubateurs du virus.
Depuis le mois d'avril 1917, les États-Unis sont eux aussi en guerre. Un peu partout au pays, des camps d'entraînement, où les soldats s'entassent quelques semaines dans des baraques de fortune avant d'être envoyés vers la France, sont organisés à la hâte. Le camp Funston, dans le Kansas, est un de ceux-là: plus de 56 000 militaires y sont cantonnés.
Début mars 1917, le premier cas de grippe y est signalé.
Trois semaines plus tard, ce sont des milliers de soldats qui sont cloués au lit ; 237 développent une pneumonie et on dénombre 38 décès, relate le microbiologiste français Patrick Berche, dans son livre intitulé «Faut-il encore avoir peur de la grippe ? Histoire des pandémies» (édité par Odile Jacob, 2012).

Rapidement, la grippe émerge dans d'autres camps, puis dans la population civile. « La mobilisation de l'armée américaine est brutale, explique l'auteur, directeur général de l'Institut Pasteur de Lille. Il y a une grande promiscuité dans les camps, puis les soldats partent en train sur la côte est. On imagine bien qu'avec 200 militaires dans un wagon, non seulement la probabilité de contamination est forte, mais la charge de l'inoculum, c'est-à-dire la quantité de virus contractée, est aussi extrêmement élevée. » Très contagieuse, la grippe est toutefois relativement bénigne - avec une mortalité d'environ 2 pour 1000.

Sans surprise, elle gagne l'Europe en avril 1918, voyageant en bateau avec les renforts américains. « Les premiers foyers sont signalés dans les ports de débarquement, notamment à Brest et à Bordeaux. En mai, on déclare quotidiennement entre 1500 et 2000 cas», à l'arrière du front, rapporte le docteur Berche. L'expansion est rapidement mondiale, en raison de l'intense trafic maritime.
Fin mai 1918, l'Inde déplore ses premiers cas, chez les dockers de Bombay ; l'Inde est le pays qui paiera finalement le plus lourd tribut, avec environ 20 millions de morts.

Épargnés par la censure qui muselle les médias des pays en guerre, les périodiques d'Espagne, pays neutre, sont les premiers à évoquer l'ampleur de l'épidémie - laquelle sera appelée, par métonymie, grippe « espagnole ». « En France, à ce moment-là, on ne trouve presque rien sur le sujet dans les journaux. On ne voulait pas démoraliser les troupes. » D'ailleurs, du côté des Alliés, on met en doute le caractère naturel de la maladie : certains médecins militaires soupçonnent les Allemands d'avoir introduit des « bacilles » dans des boîtes de conserve alimentaire de provenance espagnole. Il faut dire que le virus de la grippe ne sera identifié qu'en 1933, et qu'on ignore alors tout des différents agents infectieux.
Métonymie : Figure de style par laquelle on exprime un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (cause et effet, inclusion, ressemblance, etc.).
« Boire un verre »(boire le contenu) est une métonymie. Wikipédia

1976
L'Église catholique permet la crémation des restes des défunts qu'elle interdisait jusque-là.
1999 Le cimetière est déclaré site du patrimoine mondial de l'UNESCO.
2007
(16 mai 2007) Début d'un lock-out des employés syndiqués de cimetières montréalais affiliés à la Confédération des syndicats nationaux CSN).
(5 septembre 2007) Le syndicat propose de n'utiliser qu'une journée de grève par semaine et de disposer des 498 cadavres accumulés dans des conteneurs réfrigérés depuis le début du conflit ; 151 cadavres sont destinés au mausolée, 347 doivent être mis en terre ; la Fabrique Notre-Dame accepte cette proposition syndicale.
(12 octobre 2007) Les syndiqués rejettent la dernière offre patronale qui aurait mis fin au conflit.
(11 novembre 2007) Lors d'une assemblée générale, les syndiqués acceptent les conditions d'une nouvelle convention collective qui prendra fin le 31 décembre 2018 et le lock-out est levé ; il aura duré prés de 6 mois.
2009
(5 juin 2009) Grève de trois jours du Syndicat - CSN des employés de bureau du Cimetière.
2010
Le nombre de dépouilles inhumées dans le cimetière atteint 900 000 depuis la fondation de Ville-Marie en 1642 . Il y a 90 000 monuments dans le cimetière.
2012
(17 août 2012) Des travailleurs, qui creusent le sol pour enfouir des fils électriques et installer de nouveaux lampadaires dans la Place du Canada découvrent deux cadavres couchés côte à côte dans une tombe ; des archéologues sont appelés pour enlever les restes de résidents de l'ancien cimetière Saint-Antoine. Le même jour d'autres travailleurs qui creusent un trou sur le boulevard René-Lévesque découvrent 4 tombes sous l'asphalte. Il y avait des ossements dans l'une des tombes et les autres tombes étaient vides.
2014
La ville de Montréal entreprend de retaper la Place du Canada selon la composition d'origine du parc au coût de 9,3 millions $ ; près de 90 nouveaux arbres seront plantés ; de nouveaux bancs de parc et des lampadaires d'inspiration victorienne seront installés ; les travaux feront découvrir d'autres ossements (jusqu'à 500 cadavres) puisque le terrain du parc a fait partie du cimetière Saint-Antoine de 1799 à 1854 ; à la fin du XIXe siècle, de nombreuses dépouilles avaient été transférées au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges.

Quelques personnalités inhumées dans ce cimetière :

Émile Nelligan
Dino Bravo

Cimetière du Mount-Royal Cemetery.

Sur la pente nord-est du mont Royal ; entrée par le boulevard Mont-Royal ou la voie Camillien-Houde ; 66 hectares sur lesquels se déroulent 19 kilomètres de sentiers.

  • Éphémérides -


1797 Ouverture du premier Cimetière réservé aux protestants ; appelé Dorchester Street Burial Ground, Cimetière du Square-Dufferin, ou Saint Lawrence cemetery, il était situé à l'angle des rues Chenneville (Saint-Urbain) et Dorchester (René-Lévesque), sur le site de l'actuel complexe Guy-Favreau ; les restes des protestants pré-décédés sont alors transportés dans cet emplacement. C'est à cet endroit que James McGill a été inhumé à son décès.
1815 Le Cimetière St. Mary est aménagé pour les anglophones sur la rue Papineau vis-à-vis de la rue Logan.
1847 Fondation de la Mount Royal Cemetery Company, une compagnie sans but lucratif.
1851 La Mount-Royal Cemetery Company», achète les terres (66 hectares) que possède le docteur sur le flanc nord-est du mont Royal.
Aménagement du Cimetière-jardin sur la pente de la montagne selon un plan de l'arpenteur et ingénieur britannique, J.C. Sidney ; espace paysager tout en sinuosité, aux contours irréguliers, d'allure presque sauvage; on ne peut percevoir qu'un fragment de paysage à la fois ; véritable arboretum on y plante, plus tard, des arbres exotiques tels des Ginkgos et des Métaséquoias importés de Chine.
1852 (19 octobre 1852) Ouverture du Cimetière Mont-Royal avec l'inhumation de William Squire, missionnaire méthodiste décédé du choléra.
1854 Le Cimetière St. Mary ferme ses portes.
(29 septembre 1854) Dernier enterrement au Saint Lawrence Cemetery.
1862 Construction de l'arche de l'entrée nord et les bâtiments avoisinants.
1978 Construction du comlexe Guy-Favreau ; les restes des personnes inhumées dans le Saint-Lawrence Cemetery sont transportés dans le cimetière Mont-Royal.
1901 Début d'exploitation du premier crématorium au pays.
1978 Des travailleurs de construction qui commencent à creuser pour les fondations du complexe Guy-Favreau à l'angle des rues Jeanne-Mance et du boulevard Dorchester découvrent des cercueils de métal parfaitement conservés contenant les restes de Noah Shaw décédé en 1836 et de son frère Edward Pauson Shaw décédé en 1844 ; ces cercueils et leur contenu sont transférés au Mount-Royal Cemetery et y sont enterrés tels quels ; tous les autres cadavres découverts au cours des travaux sont aussi transhumés au Mount Royal Cemetery.
1979 Pour créer de nouveaux espaces, l'administration du cimetière fait abattre des chênes centenaires.
2001 Le Cimetière contient les restes de plus de 200 000 non-catholiques de Montréal ; parmi les personnages célèbres qui y sont inhumés, on retrouve les membres des familles Hugh Allan, Mortimer Davis, James McGill, John Molson, John Redpath, John Morgan, Herbert Holt, Henry Birks et William Dow; on trouve également les sépultures de sept personnes décédées lors du naufrage du Titanic.
2002 Le Cimetière est déclaré site historique national.

Cimetière de la congrégation Shaar Hashomayim sur le mont Royal ; 2 hectares ; entrée sur l'avenue Mont-Royal, dans l'arrondissement d'Outremont.

Military Cemetery and St. Mary's Burial Ground ; à l'angle des rues Logan et Papineau anciennement chemin Victoria). On répertorie 1 797 inhumation dans ce Cimetière.

  • Éphémérides -


1814 Inauguration du Military Cemetery.
1815 Inauguration du St. Nary's Burial Ground.
1839 Charles Hindelang y est inhumé.
1869 Inhumation du dernier défunt militaire britannique.
1944 La ville de Montréal achète le Cimetière au coût de 35 000 $ ; transfert des tombes des soldats dans le Champs d'honneur de Pointe-Claire.

Parc commémoratif de Montréal à l'angle des boulevards Sainte-Croix et Crémazie dans l'arrondissement de Saint-Laurent)

  • Éphémérides -


1932 Fondation du Cimetière sous le nom de Montréal Memorial Park

Repos Saint-François-d'Assise anciennement Cimetière de l'Est, sur la rue Sherbrooke Est près du boulevard Langelier).

  • Éphémérides -


1916 Fondation et inauguration du Cimetière.
1918 Aménagement de fosses communes pour y enterrer rapidement les victimes de la grippe espagnole.
2008 21 juin) Inauguration de 2 monuments en l'honneur des millions de Vietnamiens tués au cours de la guerre du Vietnam - 1954-1975 ; l'un de ces monuments, une arche carrée est érigée au pied de la section du Cimetière réservée aux Vietnamiens et l'autre, un ensemble 10 pieds de hauteur sur 8 pieds de largeur) de 3 dalles de granit érigées côte-à-côte, la dalle de gauche arborant dans son coin gauche le drapeau vietnamien et, comme la dalle de droite, reproduisant une scène de l'exode par la mer des réfugiés sud-vietnamiens après la chute de Saïgon en 1975, et celle du centre représentant un soldat vietnamien sculpté au laser.
2009 Sur les 250 000 personnes qui y sont inhumées, une grande proportion est d'origine italienne.
2010 (8 octobre) L'administration du cimetière déclare un lock-out de ses employés syndiqués à la CSN ; le syndicat demandent la réduction de la semaine de travail de 37,5 h sur 5 jours à 34 h sur 4 jours.
2011 (8 juillet) Les travailleurs du cimetière acceptent à 76 % une entente de principe intervenue entre le Syndicat et la direction du cimetière ; ce qui met fin au lock-out qui aura duré 9 mois ; la nouvelle convention expirera en 2015.

  • Bibliographie -


Cimetières - Patrimoine pour les vivants direction de l'ethnologue Jean Simard et photographies de François Brault, Les Éditions GID, 2009).

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