Pikogan (réserve amérindienne algonquine)
Un article de la Mémoire du Québec (2022).
- Superficie - 0,9 km2.
- Langue d'usage - L'algonquin.
- Langue seconde - Le français.
- Gentilé - Abitibiwinni ; ce gentilé signifie «peuple de la hauteur des terres».
- Éphémérides -
1905-1906 Le gouvernement canadien incite les Algonquins à s'établir sur la rive ouest du lac Abitibi.
1910-1915 Construction du chemin de fer; les Algonquins se rapprochent de Amos.
1958 (10 octobre) Création de la réserve de Pikogan par le gouvernement du Canada.
1964 Fondation de la mission catholique de Sainte-Catherine par les oblats de Marie-Immaculée-o.m.i.*.
1968 (20 octobre) Bénédiction de l'église du village.
1995 La population de la réserve est de 444 habitants.
- Attraits :
Église Sainte-Catherine (1968) ; 10, rue Tom-Rankin ; construite en forme de tipi (tente) ; décorée par les amérindiens de la réserve.
- Toponymie -
Pikogan est un mot amérindien signifiant «tente de peau».
Sainte-Catherine rappelle le souvenir de Kateri Tekakwitha.
- Repères géographiques -
Sur le versant gauche du bassin du Saint-Laurent.
Au nord de Amos, sur la rive gauche de la rivière Harricana.
Diocèse de Rouyn-Noranda.
Région touristique d' Abitibi-Témiscamingue.
Carte 14.
Carte 14 sur Google Maps